Well... [Libre]

(Pas d'idée de titre xD)

L'étang, un endroit calme, pour un climat calme. Il faisait agréablement beau aujourd'hui, le soleil brillait doucement accompagné de quelques nuages flottants avec quiétude dans le ciel. Ciel pourtant aux allures grisonnantes, les nuages avaient adoptés au lointain, des airs de nuages pluvieux. Mais bon, ils étaient encore bien loin... Sur le territoire de Bonesyard, l'étang aux abords de la forêt adoptait la couleur légèrement bleuté du ciel. C'était un étang banal a première vue, grand, calme avec quelques roseaux, nénuphars à certains endroits. Bref, un étang comme un autre. Mais il a une histoire, comme tout les lieux du continent d'Ays...

C'est précisément en ce lieu calme et serein, que les loups de Bonesyard aimaient bien se promener et se détendre. C'est pourquoi une grande louve aux aspects particuliers, venait de poser ses pattes sur le rivage du grand étang. Une louve très grande, aux couleurs noirs et gris clair. Et surtout, ses immanquables signes bleus turquoises et sa tignasse rousse ... Si particulière, un style unique qui distingue toute sa famille. Cette louve se nommait Twilight. Sa démarche solide mais douce l'emmenait vers l'étang, ses yeux couleur rubis bordés de jaune pâle balayait les alentours d'un regard tranquille.

Les deux premières pattes dan l'eau, elle se baissa et but quelques gorgées d'eau claire. Un fin sourire a ses lèvres, on devinait malgré cela un faible inquiétude aux fonds de ses yeux. L'histoire des dingos qui s'agitait l'inquiétait, comme les autres loups adultes de Bonesyard, cette histoire trottait dans la tête a beaucoup de loup. Mais bon, pour l'instant, cela semblait aller. La grande louve secoua la tête, dégageant une mèche rousse de ses yeux. Une oreille vers l'arrière, il lui semblait avoir entendu un bruit non loin de là, et une odeur familière semblait se porter a sa truffe. Un loup, une louve, bref, elle tourna la tête vers l'arrière, ses yeux rubis scrutant le moindre geste.

Toujours, toujours et encore… Ici. Ce simple étang à l’eau cristalline. L’unique endroit où le silence régnait en maître, le seul endroit où les louveteaux désagréables n’aimaient pas être. Des raisons bien ridicule de s’y à chaque jour, mais pour ce mystérieux jeunot qu’était le fils de Rosebud, c’était l’essentiel. Le calme… Que le calme. C’était la seule chose qu’il demandait.

Sulbau avançait donc la tête basse, l’allure mélancolique. Il avait l’air triste, malheureux. Ce n’était pas anormal, qu’il agisse ainsi. Ce n’était pas qu’il voulait s’attirer la pitié des autres, loin de là, il était simplement… Comment dire… Incapable de sourire. Jamais il montrait sa joie, jamais. Pourquoi ? Question qu’il ne pourrait même expliquer. Les seuls gens qu’ils l’ont vu heureux et souriant, c’est sa famille. Particulièrement ses cousins, sans oublier sa soeur.

Une fois près de l’étang, Sul’ remarqua rapidement que quelqu’un y étais. Il vit vite qu’il s’agissait d’une femelle, une femelle qu’il connaissait bien. C’était sa tante, Twilight. Il ne l’approchant cependant poins tout de suite, puisque elle avait l’air parfaitement heureuse d’être seule et dans le calme. Mais celle aux marques bleuter ne tarda pas à sentir la présence du loupiot, l’odeur lui semblant familière. Normal. Le futur stratège s’avança donc, pour lui montrer qui était la personne qu’elle avait sentit.

Allongée, tranquille, la vieille louve dormait à point fermés, ou presque. Ses oreilles bougeaient légèrement de temps à autre, mais elle respirait calmement et ne semblaient pas vraiment agitée, en même temps, Soupir n’était pas une louve surexcitée, vu son âge elle devait plutôt y aller doucement. Mais ce n’était certainement pas sa conscience qui allait lui dire e qu’elle devait faire. Soupir n’avait que des problèmes, vis-à-vis de son corps, mais elle n’allait pas se faire avoir, à ça jamais de la vie ! Tant qu’elle pourrait encore respirer, manger, boire, vivre, elle le ferait, tête haute.
Une mouche vint à se poser sur le bout du nez de l’ancêtre, lui chatouillant ainsi la truffe. Elle remua tant bien que mal son museau mais l’insecte semblait bien vouloir rester. Alors, Soupir dut ouvrir un de ses yeux, pour voir l’animal. C’était une grosse mouche, laide, avec une couleur verdâtre à vous faire vomir. Quels animaux dégoûtant, Soupir n’aimait pas ça. Alors, elle remua de plus belle sa tête, mais le petit point vert aux yeux rouges était toujours là. Agacée, la vieille se leva, d’un bond et se secoua de tout son être. L’affreuse bestiole tomba de la tête de la femelle et avant qu’elle n’ait pu s’envoler vers un ciel meilleur, Soupir l’écrasa, sans remords. Sa seule patte avant l’avait frappé avec rapidité. L’ancêtre avait encore de nombreux tours dans sa poche …

Désormais assise, la louve brune pouvait voir l’étang et ses environs. Elle y vit alors deux animaux familiers. L’un plus que l’autre, mais c’était normal. Là, sa fille buvait dans l’étang, calmement, et en retrait se trouvait son petit-fils, le fils de son fils (compliquée la famille xD). Immobile, la grande louve était aussi sérieuse qu’une pierre, mais quand elle fixa un petit moment ces deux loups, elle sourit. Finalement ce n’était pas si mal d’être une grand-mère et une mère fière de ses enfants. Mais son sourire s’en alla vite de son visage, Soupir était avant tout une louve au visage marqué d’un calme et d’un sérieux à tout épreuve. Elle ne voulait pas les déranger, s’ils voulaient lui parler, ils viendraient d’eux-mêmes. Ils savaient bien que Soupir n’était pas une femelle très bavarde de nature, et surtout elle n’était pas très collante.

La louve au pelage brun parsemé de couleurs marques vives, vertes, et dont poussait une mèche blonde au dessus de sa tête se sentait plutôt comblée par sa vie. Mais hélas, les temps n’étaient plus très sûrs, à cause de ces dingos … Elle soupira donc, et ferma ses yeux aux iris violets …

La jolie louve gardait ses yeux rougeoyant fixer sur les bords de la forêt. Rien ne semblait être anormal, les oiseaux dans les conifères chantaient gaiement, ou discrètement. Quelques animaux sauvages détalaient soudainement en voyant Twilight vers le lac. Ils auraient aimé étancher leur soif mais elle occupait l'espace sur plusieurs mètres à la ronde par son aura de prédatrice. Twilight vit une forme canine s'affinée a l'horizon, une petite, trop petite pour être celle d'un loup. Et puis, on pouvait voir de loin ces marques rouges ... Sulbau bien sur !

C'était son neveu, fils de son cher frère immature mais qu'elle aimait beaucoup. Twilight esquissa un sourire sympathique. Ce jeune était spécial, elle le savait mais elle cependant, elle ne le connaissait pas beaucoup. Elle avait sa propre famille, donc difficile d'aller voir son frère, ses nièces et neveux trop souvent ... Ses trois enfants et son compagnon lui prenait beaucoup de temps...
C'était donc Sulbau qui s'avançait vers sa tante, le jeune avait un air mélancolique sur le visage, Twilight avait un sourire bienveillant aux lèvres, relevant ses tatouages turquoises le long de son museau. Quand le jeune fut suffisamment près d'elle pour qu'elle n'ai pas besoin de s égosiller pour lui parler, Twilight lui dit :

- Hey Sulbau, la forme ?

Mais mise a part Sulbau, Twilight sentait une autre odeur, encore plus familière ce soir. Mais cette fois, elle n'eut pas besoin de chercher qui c'était. Elle savait tout de suite que c'était sa mère...

- M'man !

Elle tourna la tête dans la direction opposée, un grand sourire de toutes ses dents blanches vers sa mère. Ça faisait un petit moment qu'elle ne l'avait pas vu, et cette mini "réunion de famille" ne ferait pas de mal. Twilight en interpellant sa mère un peu loin, l'invita a venir vers sa fille. Mais elle savait que sa mère n'était pas la plus sociable des louves, alors ell ene lui en voudrait pas si elle déclinait l'invitation...

( ENFIN, j'ai répondu. Pardon de l'énorme attente, et de ce message très, très court ._. )

- Hey Sulbau, la forme ?

- M'man !

M’man ? Ma mère à moi ? Mais non voyons ! Il s’agissait d’une mère, oui, mais la mienne. C’tait la m’man de Twi’, ma grand-mère, quoi. Tournant mon regard d’un geste vif, je souris à mon tour. Rare de me voir souriant, j’en conviens, mais croiser de temps en temps les membres de ma famille me rendait toujours joyeux.

[ pas graveee =3 ! Héé, on pourrait dire dans ce top’ que Soupir veut bien prendre en enseignement Sulbau =D ?! ]

« Hey Sulbau, la forme ? » demanda Midna, la fille de Soupir.

Ce petit, que connaissait que très peu la vieille semblait être plutôt calme pour son âge. Etrange, car la plupart des jeunes étaient turbulents et surtout bavards. Mais lui, on aurait déjà dit un vieux sage. A ça place Soupir n’aurait pas été pressé de vieillir, mais après tout, la louve avait toujours été d’un naturel calme, silencieux et quelque peu agressif sur les bords. En vieillissant elle était devenue encore plus méfiante envers les autres. Et elle regardait toujours à deux fois les étrangers avant de les approcher, pour les évaluer. Car son regard mauve ne lui mentait jamais, et elle savait presque tout le temps à qui elle avait à faire. Toujours assise, elle regarda de plus près ce petit, qu’elle ne connaissait pas tant que ça. Sulbau ne répondit pas à sa tante, Twilight, il ne lui fit qu’un geste simple de la tête confirmant sa question. L’ancêtre sourit, légèrement, car elle se reconnaissait là, un peu. Enfin bon.

« M'man ! » lança ensuite Midna à sa mère.

Soupir, toujours aussi sérieuse, eut un petit sourire, et sans hésitation, elle sauta, ne prenant aucun élan. Et elle atterrit sans bavures sur le sol ferme, non loin de l’étang. Ses trois pattes étaient bien raides, même un peu trop, et elle les bougea un peu, les faisant ainsi craquer. Puis, elle alla à la rencontre de sa fille et son petit-fils. Soupir marchait lentement, et avec fierté, malgré le fait qu’elle boitait toujours et encore. Depuis quand avait-elle perdue sa patte ? Ouf, la louve ne s’en rappelait plus, et elle avait désormais l’impression d’avoir toujours vécu avec seulement trois membres. Avec classe, elle se retrouva désormais face à deux membres de sa grande famille. Et, elle s’assit, histoire de se reposer. Elle n’était pas fatiguée, loin de là, mais elle préservait, en revanche, son énergie qui désormais lui filait plus facilement entre les pattes. Alors, il fallait bien qu’elle sache juger la jauge d’énergie qui lui restait (comme dans les jeux vidéos =D ! *porte*). Un long silence embauma les oreilles de la femelle, et au bout d’un certain temps, elle ouvrit sa gueule, lentement, très lentement, et commença à parler de sa voix dure mais néanmoins attendrit par les années …

- Bonjour vous deux. Alors Midna, comment se porte ta petite troupe ?

Elle regarda avec douceur, et amour, sa fille dont elle était fière. Sa fille robuste et forte, Soupir eut quelques souvenirs qui lui remontèrent en tête, se souvenant de sa naissance, et de ses premiers pas maladroits. Mais elle resta tout de même sérieuse, et ensuite, elle tourna son visage vers le louveteau.

- Et toi Sulbau, comment vont ton père et ta sœur ?

Oui, cela faisait un petit moment que la vieille louve n’avait pas revu sa famille au grand complet. Entre ses enfants, ses petits-enfants, vous comprenez … Mais Soupir faisait part d’une incroyable mémoire, et elle se souvenait exactement de tous les noms de ses nouveaux « enfants », posa sur chacun un trait de caractère, peut-être déjà modifié avec le temps …

Sulbau ne fit qu’hocher la tête en guise de réponse à Twilight. Ce qui n’étonnait pas cette dernière, elle savait que Sulbau n’était pas du genre super bavard, bien qu’elle ne le connaissait pas autant que ça. Mais elle aimait quand même beaucoup son neveu ainsi que sa nièce. Et puis son frangin évidemment. La louve rousse pivota la tête vers l’arrière, elle reposa son regard sur sa mère. Breezeslice, alias Soupir. Une grande louve forte et résistante à tout. Juchée depuis longtemps sur trois pattes, cela ne la rendait pas moins dangereuse et puissante. Car elle avait prit l’habitude, et ça, Twilight était la mieux placé pour savoir ça. Jamais elle n’avait vu sa mère se plaindre de ça, jamais elle ne l’avait entendu se décourager pour ça. Jamais.

- Bonjour vous deux. Alors Midna, comment se porte ta petite troupe ?

Twilight conserva le sourire qu’elle avait sur le visage. Une mini réunion de famille, c’était sympa non ? La jeune louve se faisait souvent appelée Midna par sa mère, bien qu’elle la corrige souvent, comme avec son père mais bon, ça ne la dérangeait pas plus que ça. Après tout c’était bien ses parents qui l’avait nommée ainsi.

- Oh tu les connais bien… Ils ont la forme ! Et P’pa, comment y va ?

Ses enfants semblaient en effet toujours en forme… Infatigables, tenaces… Elle en était fière de ses enfants, et les aimaient plus que tout au monde. Quand au père de Twilight, lui qui était a présent aveugle et paralysé, il passait ses journées au même endroit… Twilight allait souvent le voir, car elle n’aimait pas le savoir seul comme ça, même si sa mère restait tout aussi souvent avec lui.

- Et toi Sulbau, comment vont ton père et ta sœur ?

Twilight reporta son regard sur le jeune Sulbau, qui pourrait croire que lui, si calme, était le fils de Rosebud, l’immature et insaisissable ? La jeune louve était bien placée pour le savoir, elle étouffa un petit rire et dit sur le même ton :

- Je parie que mon cher frère doit encore chercher un moyen de m’épier sans que je ne le sache !

Car oui, c’était son passe temps préféré… Mais bon, vu qu’il ne tenait pas en place, il était facilement repérable et devenait vite l’objet de moquerie amusée de sa soeur…

( Daga : Bonne idée ='D Comme ça, pas b'soin d'faire un autre topic x') )

- Bonjour vous deux. Alors Midna, comment se porte ta petite troupe ?

- Oh tu les connais bien… Ils ont la forme ! Et P’pa, comment y va ?

- Et toi Sulbau, comment vont ton père et ta sœur ?

Ah! Eh bien… Rosebud est toujours souriant, et Satana… Elle avait l’air malheureuse, comme toujours. Mais inutile de prendre le risque d’inquiéter ma famille. Au même moment où j’allais prendre la parole, Twilight fut à nouveau plus rapide que moi.

- Je parie que mon cher frère doit encore chercher un moyen de m’épier sans que je ne le sache !

- Ils ont la forme, eux aussi.

« Ils ont la forme, eux aussi. » Déclara Sulbau, d’une voix plutôt grave malgré son jeune âge.

Soupir ne douta pas un instant que son fils n’ai pas la forme. Car pour l’ancêtre le synonyme de joie ou d’énergie était son fils, Merlu. Quant à Satana, la première fois qu’elle l’avait vu elle semblait tellement triste, mélancolique, alors qu’elle n’avait que quelques jours. Cette petite semblait être tout un mystère pour Soupir, enfin, peut-être qu’au fils des années, elle apprendrait mieux à la connaître, et qu’elle arriverait à lire en cette petite femelle.

Breezeslice regarda attentivement son petit-fils et remarqua des marques rouges dont elle n’avait pas fait attention avant. Certainement parce qu’il avait été trop petit et que les marques avaient été trop discrètes. Ses yeux mauves firent le rapprochement entre Sulbau et son compagnon. En effet, ce petit avait des sortes tatouages qui ressemblaient fort à ceux de Gahnius. Elle sourit, enfin, elle eut un petit sourire en direction de Sulbau. Puis, redevenant sérieuse, elle déclara d’un ton grave :

- Les entraînements ne vont pas tarder, n’est-ce pas ? Demanda-t-elle à sa fille.

Bon, c’était une question rhétorique, mais tout de même, elle voulait avoir l’appuie de sa fille, car après tout, peut-être que sa mémoire lui aurait joué un mauvais tour. On ne sait jamais, et Soupir préférait rester sur ses gardes avec son corps.
L’ancêtre se demanda alors si Midna avait un ou plusieurs élèves, elle ne s’était pas renseigné dessus, mais elle ne voulait pas en dire plus et elle attendait la réponse de sa fille, et puis, elle savait très bien que Twilight allait lui préciser si oui ou non elle entraîner, cette saison, un ou plusieurs petits.

De son côté, la grande louve entraînait un petite Slas. Une jeune aveugle. Et d’ailleurs elle était contente d’entraîner un jeune ainsi, car elle savait ce qu’était être « handicapé » mais jamais, jamais elle n’avait employé ce mot, et elle apprendrait à cette Slas comment marcher fièrement, et courir plus vite que le voisin qui a deux yeux bien vifs ou quatre membres costauds. Et Sulbau ? Avait-il un entraîneur ? Ne connaissant pas la réponse à cette question, elle regarda fixement le petit mâle et elle déclara, de sa voix posée :

- Et toi, jeune Sulbau, as-tu trouvé un entraîneur ?

Assise et immobile, la vieille louve respira fortement, pour remplir ses poumons et les vider complètement. Elle aimait à sentir l’air entrer en elle, presque à effleurer son âme, c’était un peu comme un réflexe de faire ça.

Breezeslice était heureuse de pouvoir encore entraîner des petits, et elle s’arrêtera que lorsqu’elle serait paralysée, comme son pauvre compagnon. Et encore, ce n’est pas sûr, car la grande et fière guerrière était pourvue d’un esprit solide et malicieux. Elle trouverait certainement une solution, pour montrer au monde entier qu’elle ne subsisterait que lorsque que la Terre le lui dira. Et ce jour là, n'est pas encore arrivé, et semble bien loin aux yeux mauves de la louve.

Twilight balança ses longues mèches rousses de cotés, et pendant le cours instant où la conversation se faisait entre sa mère et son neveu, elle posa ses yeux rubis sur le lac. Reflets argentés en surfaces, le gris des nuages qui flottaient tranquillement au dessus. Il ne faisait pas spécialement beau aujourd’hui, ni moche à vrai dire. Un temps couvert, quelques trous dans les nuages pour laisser passer le soleil sur quelques endroits. Le vent soufflait faiblement mais soufflait quand même. Laissant plusieurs mèches de Twilight voler allègrement.

- Les entraînements ne vont pas tarder, n’est-ce pas ?

Tiens, cette question devait lui être adressée… La jeune louve détourna la tête du grand lac et revint parmi la conversation. Les entraînements… Le but de chaque génération, une épreuve immense en soi même, composée de multiples tâches, entrainements, exercices moraux et physiques. Il fallait s’accrocher, il fallait se battre, il fallait donner tout ce qu’on avait… Twilight s’en rappelait bien de tout ça. Elle en avait bavé longtemps, mais ne lâchait jamais rien. Jamais déroutée par les paroles, par la fatigue, par la difficulté. Jamais, jamais… Tout ceci s’était avéré fort payant, elle se vu affuter de trois marques turquoise, et chose amusante, ses particularités génétiques ont fait, comme avec son frère, que ses symboles changèrent de couleur pour prendre une ressemblante a ceux de ses marques. On dit que ceci se répète toutes les trois générations dans sa famille.

- Hm, presque disons. Si ces stupides dingos se tiennent tranquille, on n’aura pas de problème !

Ah oui, ceux là ils étaient fortement agités en ce moment… Twilight dans ses patrouilles en avait souvent croisés qui rôdaient autour de Bonesyard, mais facilement refoulé par les crocs et la taille de la louve Glyph’. On ne savait pas ce que ces stupides animaux faisaient en ce moment, mais dingos, d’ailleurs comme els autres prédateurs, ne se tenaient jamais tranquille…

- Quoi qu’il en soit, j’ai Neil et Jijius à ma charge ! Le petit de Bloodlust et le petit de Jijus, d’ailleurs je comprends pas grand-chose de ce qu’il raconte celui là …

Jijius était un jeune assez spécial dans son genre, Twilight ne comprenait pas toujours ce qu’il disait tant ses phrases étaient tordues ! Mais bon, il y avait aussi le jeune Neil, fils de la grande Bloodlust. Mais doté d’une mentalité tout de même assez différente…

- Je me demande si mon frère a trouver quelqu’un d’ailleurs…

Dit Twilight un peu plus pour elle-même que pour vraiment être dans la conversation. A nouveau, sa mère parla avec Sulbau, elle se demandait s’il avait un entraineur. Il semblait à Twilight que Soupir entrainait Slas cette année, la petite aveugle. La louve était certaine que sa mère, par son expérience et son propre handicap, arriverait a de grands résultats avec Slas.

- Les entraînements ne vont pas tarder, n’est-ce pas ?

- Hm, presque disons. Si ces stupides dingos se tiennent tranquille, on n’aura pas de problème !

- Quoi qu’il en soit, j’ai Neil et Jijius à ma charge ! Le petit de Bloodlust et le petit de Jijus, d’ailleurs je comprends pas grand-chose de ce qu’il raconte celui là …

- Je me demande si mon frère a trouver quelqu’un d’ailleurs…

Ah, Rosebud ? À vrai dire, mon père n’avait même pas encore trouvé d’élève. Je souhaitais pour lui qu’il en ait un, chose qui devrait normalement arriver, puisque si Omen, ce loup aux voix qui le tourmente, avait réussi à se trouver quelqu’un de l’extérieur, p’pa n’aurait normalement pas de difficulté à lui aussi, en avoir un.

- Et toi, jeune Sulbau, as-tu trouvé un entraîneur ?

- Pour l’instant, je n’ai pas d’entraîneur.

« Hm, presque disons. Si ces stupides dingos se tiennent tranquille, on n’aura pas de problème ! » Déclara d’un ton vif Midna. C’est vrai que ces chiens galeux commençaient à irriter quelque peu Soupir, mais enfin. La vieille louve resta calme, elle n’était pas du genre à s’emporter, et elle savait parfaitement que cela n’aurait servit à rien. Elle repensa rapidement à la discussion qu’elle avait eut avec l’alpha de Spinewarmth, ce grand mâle robuste. Woundeye, un de ses « anciens » amis. Elle sourit, intérieurement, en repensant à lui et à ses souvenirs.

« Quoi qu’il en soit, j’ai Neil et Jijius à ma charge ! Le petit de Bloodlust et le petit de Jijus, d’ailleurs je comprends pas grand-chose de ce qu’il raconte celui là … »

A ce fameux Neil, c’était Midna qui l’avait et bien. Et ce Jijius ? Mmh, elle ne le connaissait pas. Neil était le petit de Bloodlust, cette fameuse guerrière dont Soupir voulait savoir plus de chose, mais ce n’était pas aujourd’hui, dans cette discussion qu’elle en apprenait plus sur la petite-fille de Ouriou. Breezeslice regarda son petit fils. Il était si calme, tant de silence dans un être si jeune, c’était si rare. Soupir se revoyait en ce petit. Bien qu’à l’époque Soupir était un poil plus aventurière, mais il lui ressemblait étrangement, de part son caractère. Enfin, malgré leur lien familial, Sulbau était encore jeune et Soupir ne le connaissait pas si bien, de plus le temps forge le caractère, et l’entraînement aussi, donc elle verrait bien au cours de son évolution comment deviendrait il. L’ancêtre détacha son regard du petit louveteau, et regarda de nouveau sa fille, aux yeux pétillants de vie et de jeunesse. Ah, quelle fierté d’avoir des enfants, et de les voir grandir et de les voir devenir de vrais guerriers, de vrais parents, de vrais adultes, de vrais loups. Elle fixa sa fille, et après un petit temps de silence, elle répondit :

- J’entraîne la petite Slas, tu sais ? Bien sûr qu’elle savait, mais elle préférait lui rappeler, on ne sait jamais. Et elle ajouta.
- C’est la fille de Stalker, mais elle se révèle bien différente de lui, pour l’instant. Car les enfants changent, mais Soupir avait sentit en cette petite un caractère bien différent de son père, qui entre parenthèse n’était pas vraiment aimé par Breezeslice et Twilight. Malgré le fait qu’il soit devenu alpha, Soupir avait toujours du mal à voir se nain diriger Bonesyard, elle n’espérait qu’une chose. Qu’avant de mourir un alpha digne de ce nom reprenne la relève, mais elle n’était pas sûre que cela arrive avant sa mort …

« Je me demande si mon frère a trouvé quelqu’un d’ailleurs… »
Soupir ne répondit pas à cette phrase, sachant pertinemment que ce n’était qu’une sœur qui s’inquiétait légèrement pour son frère. Son frère, soit dit en passant, plutôt immature, mais si gentil et joyeux. Soupir n’en revenait toujours pas d’avoir eut des enfants si différents, mais si proches, elle trouvait que l’harmonie qui régnait entre ce frère et cette sœur était magique.

Et Sulbau répondit à Soupir, sur un ton lent, mais bien articulé :
« Pour l’instant, je n’ai pas d’entraîneur. »

Et il y eut un léger silence. Soupir savait qu’il avait du potentiel ce petit. Il était calme et semblait réfléchit, avec quelques savoirs en plus il deviendrait certainement sage. Elle l’inspecta une dernière fois du regard, et elle tourna sa tête vers sa fille, l’interrogeant du regard. Après tout, Soupir avait encore la force de tenir tête à deux élèves, même à toute une horde d’élèves ! Et elle lui sourit, d’une façon plutôt discrète, mais sincère. Voilà comment souriait Soupir, c’était rare et cela restait un moment magique. Mais son expression sérieuse revint bien vite sur son visage fatigué par les années. Et, elle déclara, sur un ton posé :

- Eh bien. Je pense que tu en trouveras un rapidement.

L'ancêtre disait cela, car elle savait parfaitement qu'en lui regorgeait de nombreux atouts, qui plus tard deviendraient intéressants, alors autant les développer de suite. C'était pour cela, qu'il trouverait rapidement un entraîneur.

Soupir ne voulait pas poser cela tout de suite, mais connaissant sa fille, elle savait que Midna lui proposerait de le prendre en tant qu’élève, ce qui n’était pas une mauvaise idée. Une idée qui traversa l’esprit de la louve, mais elle se tût, sentant sa mâchoire craquer. Il fallait mieux rester prudent, il semble qu’elle voulait lâcher, et Soupir préféra se taire et attendre, comme elle savait si bien le faire.

- C'est pas vrai,... persiffla la vigie en secouant sa patte ultérieurement, une mine dégoûtée au visage. Le sang qui la répandait le rendait fou de rage. De rage... Oui, ces bandits ne méritaient que ça, de sa rage. Et pourquoi donc? Ah ça, il faut faire un retour en arrière.

C'était il y a ce matin, où Stalker lui avait demandé de porter un message à son père adoptif, Starglimpse, au sujet de peut-être nouvelles prédictions. Au début, Squall était bien réticent, dévisageant l'alpha comme s'il eut s'agit d'un extraterrestre. Mais ce dernier montra les crocs, éleva le ton et presque aussitôt, le sentinelle détala comme un lapin, soulevant une gerbe vaseuse au passage. Après avoir parcouru quelques kilomètres qui séparaient la tanière de l'alpha de celles des autres subalternes, le mâle avait ralenti, cherché du regard ladite grotte qui contenait le paternel de sa compagne. Quelques minutes suffirent jusqu'à ce qu'il la trouve enfin. Souple et agile, le canidé se glissa à l'intérieur de la grotesque infrastructure sculptée par les eaux, et demanda à Gahnnius son message. Il avait secoué la tête, l'air de dire qu'il n'avait rien vu. Squalltramp soupira, plutôt à l'aise. " J'ai l'impression qu'ils te manipulent, mon père. " échappa-t-il, le tout rehaussé d'un ronflement irrité. Le paraplégique avait simplement sourit: " Ils ont toujours manipulés tout de toute manière, ne t'en fais pas. Après tout, je suis bel et bien un prophète, moi qui n'ai plus d'yeux pour voir, mais des oreilles pour entendre, et un cœur pour comprendre. " la Vigie secoua sa tête. " Que voulez-vous dire? " " Rien. Maintenant pars, rase la forêt de tes yeux scrutateurs. Protège cet endroit comme tu protèges ta famille... " Squall acquiesça, un sourire vivifiant animant son visage. " Bien! " le vieux loup l'interpella " Ah! Et Souhaites le bonjour à Soupir de ma part! ". À ce simple nom, Squall frissonna: " Euh, je... oui!, bien sur! ". lança-t-il à l'égard de son beau-père, quittant par la même occasion la grotte d'un pas décidé.

La Vigie fila entre les arbres, slaloma entre des loups qu'il salua d'un mouvement de tête, puis ralentit. Petit à petit, sa démarche se fit lente, reposée. Il trottinait ouvertement à l'orée de la forêt une oreille à l'affût, l'autre au repos. Oh que si, il en cherchait, du repos. Depuis deux jours qu'il n'avait pas dormi suffisamment , et c'est à peine s,il avait eu le temps de passer le bonjour à sa tendre moitié. Mais ce n'était pas un problème, enfin, ça n'en semblait pas un, jusqu'à ce qu'il aille un creux, et qu'il traquât un lièvre. Cette faute sur son travail lui coûta une injurie assez sérieuse au niveau de la patte; des bosquets, avaient surgit un petit loup, maigre, aux longues oreilles. Quoique, en y repensant, c'était loin d'être un loup. C'était un dingo, qui répondait au nom d'Asan. Il avait littéralement bondit à la gorge du louvard qui s'était reculé prestement sa pupille devenue minuscule. Le petit animal décrivit un cercle autour du loup, qui se campa sur quatre pattes solides, montrant les crocs à son adversaire. Le dingo n'en fut que plus amusé et se mit à rire, rire presque hystérique. Aussitôt, il tenta de bondir à l'adresse de Squall qui l'évita d'un agile bond, un air de défi au visage. D'abord surpris, le dingo se retourna sur son flanc, cette fois illustrant une hargne et une colère sourde vis-à-vis l'initié. Ce dernier bomba fièrement le torse, redressant ses oreilles. Vif comme l'éclair, le maigre chien sauvage bondit en direction du grand mammifère, qui cette fois, ne jouait plus.

Avec la flexibilité d'un chat, il tourna sur lui même, se soulevant sur une patte. Le dingo s'était reculé, horrifié. Dans ses yeux, l'espace d'un instant, il n'avait plus du tout aperçu un loup, mais bien une araignée de la même grandeur. Il se recula d'un pas, d'un deuxième, jusqu'à sentir sa nuque se broyer sous un coup de pied vrillé. Squall retomba au sol, écumant chassant le dingo en le poursuivant un moment. Lorsque ce fut enfin fini, il s'était roulé sur le sol, avait soupiré toute la peur qui l'avait saisie à ce moment là. Puis, son regard soulagé se crispa de douleur, où il constata tristement l'état de sa patte, où la trace de griffe profonde du dénommé Asan se lisait. Peu après tout cela, il s'était levé, avait bien l'idée en tête que de se rafraîchir l'esprit à l'étang qui était tout juste à proximité. Squall secoua nonchalamment sa tête, se traînant tant bien que mal en boitillant, parmi les buissons et les arbres qu'il slalomait entre. Plus il s'éloignait du lieu de combat, plus il ressentait ce sentiment alarmant. Que faisait un Dingo d'Oakbell près de Bonesyard? Et pourquoi avoir ri aussi grotesquement? Le loup préféra ne pas se poser plus de questions, arpentant la colline qui le guiderait jusqu'à l'étang. Il passait tout juste sous un épais saule pleureur qui le chatouilla de ses longues et fines branches, qu'il put perçevoir les bribes d'une conversation:

- ... Si ... stupides dingos ... tranquille, on ...pas ...problème !

Oh, tiens. Ici aussi, on parlait des dingos. Squall ne reconnût pas la voix immédiatement, encore embrumé par le combat qui s'était déroulé en un éclair. Ce salaud au pelage noir allait regretter d'être né... La même voix commençait, effaçant les épaisses brumes de l'esprit du louvard, qui redressa peu à peu les oreilles.

- Quoi ... soit, j... Neil ... Jijius ...à... charge ! Le petit de Bloodlust et le petit de Jijus, d’ailleurs je comprends pas grand-chose de ce qu’il raconte celui là …

Peu à peu, les mots se firent plu clair, et il put comprendre le sens de ses paroles. Mais surtout, celui qui les disait. Après tout, qui ne reconnaîtrait pas l'once de sarcasme qui se lisait dans cette phrase? Certainement pas Squalltramp. Un sourire amusé décocha son visage, qui, il n'y avait quelques secondes, était rongé par l'angoisse.

- Je me demande si mon frère a trouvé quelqu’un d’ailleurs…
C'est vrai, je me demande moi aussi si Rosebud a trouvé quelqu'un qui le supporterait pour sa personnalité gaffeuse et/ou trop encombrante. Sarcasme personnel, sans doute. Squall clôt les yeux à cette brimade, élargissant son sourire par la même occasion. Sa queue se levait peu à peu, animée d'un mouvement translatif ( OH =O ) de droite à gauche, tel un faible métronome. L'espace de quelques secondes, les yeux du louvard se perdirent dans le vague, alors que des souvenirs bizarres fouettaient ses yeux. Il s'arrêta un moment, contemplant le vide, les arbres, les quelques oiseaux qui égayaient la journée de leur crécerelle... D'un réflexe que lui même ne se rendit pas compte, il enjamba un tronc d'arbre tombé au préalable sur sa route. Il passa sous d'autres saules, les voix devenant nettes, les visages qui se formaient dans son esprit se clarifiant par la même pensée.

- Et toi, jeune Sulbau, as-tu trouvé un entraîneur ?
- Pour l’instant, je n’ai pas d’entraîneur.
Tiens, son neveu se trouvait ici aussi? Non attendez. À qui appartenait cette voix? La vigie se stoppa net pendant deux secondes, avant de frissonner d'horreur. Sa belle mère, Soupir, qui l'avait prise en grippe. Urgh. Tout mais pas ça! Cette vieille avait le don de lui foutre la honte, de l'engueuler royalement devant tout le monde comme s'il eut s'agit de sa propre mère!... Mais... d'un autre côté, il n'en avait pas une, de mère. Et puis, indirectement, elle était la sienne, puisque Gahnnius, qui était son compagnon, était aussi son père. En d'autres mots, elle était sa mère adoptive doublée de sa belle mère. Squalltramp ne savait plus s'il devait avancer au reculer. S'il restait planté là, sa blessure ne ferait qu'aggraver. Il dut se résoudre à avancer de quelques pas, lents, hésitants. Il entendu soupir s'enquérir, un ton calme;

- Eh bien. Je pense que tu en trouveras un rapidement.

Une allusion, mais à quoi? Squall se résous à affronter sa famille tentant de prendre l'air le plus détaché possible. Il passât sous un autre arbre aux longues branches, comme s'il venait de passer entre un rideau de soie. Sa voix tonna dans sa gorge, laissant échapper un lourd grondement. C'est donc ici que vous êtes arrivés.
- C'est le troisième cette semaine. Vraiment, je commence à avoir de doutes... D'autant plus qu'elles sont agressives, ces bestioles, Rgh!
Il secoua sa patte avec ferveur, se débarrassant du surplus de sang qui l'avait recouverte. Squall' adressa poliment un sourire à sa belle mère, en passant tout près de Twilight à laquelle il frotta sa tête contre la sienne. - Bonjour, ma douce, désolé de l'absence... lui susurra-t-il à l'oreille par la même occasion, lui soutirant une lèche Ceci fait, il ébouriffa le crâne de son neveu avec sa patte avant, se traînant vers l'étang, où il déposa douloureusement sa patte sur le sol. Il s'abreuva à grandes goulées, puis s'assied sur le sol, se léchant la patte, posant des plantes et des fleurs sur sa blessure, ce qui parvint à calmer l'hémorragie. Il plaisanta:
- Si vous faites une escapade, cette nuit tâchez à bien planquer vos jeunes dans les grottes, les Dingos rôdent, et ils ne sont pas vraiment amicaux...
Puis, il redressa ses oreilles, soulagé, se débarrassant des plantes sur sa plaie. Il posa son doux regard océan dans les prunelles améthystes de sa belle-mère Soupir.
- Oh, ça et Gahnnius vous passe le bonjour!
Puis, tout ses muscles se détendirent, et il s'allongea sur le sol, croisant les pattes, les oreilles couchées contre son crâne; son postérieur blessé flottant à demi sur l'étang derrière lui. Il s'adressa cette fois à Sulbau;

- Hep, un conseil, ne deviens jamais coursier; y a pas assez de jours de repos.
À ces mots, il étira tout son corps bailla à s'en décrocher la mâchoire. Oui, bon, il venait de faire intrusion dans une conversation qui devait sans doute être importante, mais... C'était le seul point d'eau disponible. Et maintenant qu'il était là, en compagnie de son neveu, de sa belle mère et de sa douce, il ne pouvait pas se résoudre à les quitter. En d'autres mots, total l'incruste...

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